Ma vision de l’Arc de Triomphe emballé par Christo et Jeanne-Claude.

Ceci est un projet ayant pour thème « Le corps à l’ouvrage » qui m’a fait penser au ventre d’une femme enceinte. J’ai choisi de représenter cette conception sous forme de frise afin d’en illustrer la chronologie et une progression dans la prise de conscience de la mère. Ainsi, dans la planche n°1 le choix de l’aquarelle par ses couleurs douces et estompées traduit une idée floue et onirique de l’être en formation. La planche n°2 est réalisée aux crayons de couleur pour le contraste plus prononcé et un trait plus net afin de donner l’idée que la mère commence à réaliser ce qui se passe en elle. Pour la planche n°3 j’utilise de la peinture acrylique pour un coté encore plus net. Les couleurs psychédéliques commencent à s’estomper pour montrer que le rêve s’éloigne. La dernière planche, en noir et blanc, se rapproche de l’imagerie médicale et scientifique où le bébé devient réalité mais sans pour autant être encore détaché du corps de sa mère.

projet finalisé (130 cm x 25 cm) :

Ce croquis (15,5 x 15 cm) correspond à un projet d’exposition d’une œuvre de Barbara Kruger. Pour ce projet j’ai choisi « It’s a small world, but not if you have to clean it » qui est une œuvre sans titre datant de 1990. Mon projet consiste à placer l’œuvre dans la salle d’attente d’un aéroport moderne afin de mettre en relation plusieurs classes sociales, en particulier les voyageurs et le personnel d’entretien des lieux pour les amener à se questionner sur les inégalités. Il s’agit de faire écho à la démarche artistique de l’artiste. En effet, par cette œuvre Barbara Kruger cherche à dénoncer la négligence que nous portons envers ceux qui nettoient nos bureaux, maisons, etc. ainsi que les effets de l’activité humaine sur l’environnement. Afin de renforcer le message de l’œuvre et parler d’un petit monde (« It’s a small world ») quoi de mieux qu’une salle d’embarquement où différents profils de personnes peuvent se croiser.

Sur le thème de l’expression des émotions j’ai décidé de représenter l’impact que peuvent avoir les mots sur nous. À la peinture acrylique j’ai dessiné deux personnage face à face. La fille dit des mots blessants et le garçon des mots valorisants. Pour le fond, j’ai choisi un quai de métro car c’est un lieu où les gens peuvent discuter et le métro pourrait symboliser les émotions passagères. J’ai réalisé le tout sur feuille noir (70 x 50 cm) car je voulais dessiner mon fond en blanc afin de faire ressortir les personnages réalisés à la peinture.

J’ai voulu représenter des moments de la vie quotidienne à la manière de livres pour enfants avec des languettes permettant de déplacer les personnages.

Dans le cadre de ma spécialité arts-plastiques au lycée, mon thème est «l’expression des émotions». Pour ce projet j’ai voulu réaliser un personnage à l’expression neutre dont les différentes émotions s’échappent de son crâne. J’ai choisi le fil de fer car je voulais qu’il y ait une certaine continuité, les émotions peuvent en effet être liées les unes aux autres. Nous pouvons être heureux et triste simultanément. À travers ce projet j’ai donc voulu représenter les différentes émotions qui sont en nous et qui nous sont communes. Une fois la composition en fil de fer terminée, je voulais la poser sur un socle mais cela n’étant pas possible à cause du poids je l’ai alors suspendue au plafond et j’ai joué avec l’ombre de celle-ci en utilisant la photographie.

Mon projet :

Projet finalisé :

Bois en Sardaigne avec le jeu de la lumière entre les pins.

Cette photo montre le dessus de mon bureau et quelques réalisations personnelles.

Pour ses 50 ans, j’ai réalisé ce portrait de ma mère à l’aquarelle à partir d’une photographie.

J’ai réalisé ce croquis du David de Michel-Ange lors d’un voyage à Florence.